Ayant lamentablement raté ma première tentative d'atterrissage d'urgence, j'ai repris en détail la vidéo de FalconEye qui explique comment gérer la situation, et j'ai retenté avec plus de succès. Je ne sais pas ce qui m'avait pris, mais la première fois, j'ai cru qu'il fallait couper le transfer de puissance hydrolique, ce qui a cause in fine une perte des contrôles de l'avion et un méchant crash. Cette fois-ci, je m'y suis pris plus proprement, avec un plan de vol propre et une gestion du plan de vol secondaire pour préparer le retour à l'aéroport. Seule chose qui me manque vraiment, c'est les seuils au niveau de la manette des gaz : je dois toujours y aller un peu au pif pour trouver le bon mode et éviter d'avoir les moteurs qui partent à fond ou au contraire qui se coupent. Enfin, le moteur, en l'occurence, puisque l'autre était parti en vacances.
À refaire, donc, peut-être en combinaisons avec d'autres pannes histoire de rajouter du stress. Et tout cela en préparation de l'expérience ultime : les pannes aléatoires !
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