C'est que ça a été douloureux, de sortir la fugue qui accompagne Léon le Philosophe. De fait, je me suis rendu compte que pour commencer à poser ses idées, papier (à musique !) et crayon étaient finalement plus pratiques que le clicodrôme avec Rosegarden (encore plus lorsque l'on a perdu toute inspiration après s'être battu pendant 10 minutes pour qu'il accepte d'émettre un son). À noter également, un piano jouet est très pratique pour composer (j'ai un joli Shoenhut rouge) et vérifier que la mélodique ou l'harmonie rend pareil dans la tête et IRL.
La composition elle même, c'est du sous-ersatz de Bach, inspiré des Brandebourgeois et de la toccata et fugue en ré mineur. Pour la postérité, je vous met mon brouillon, que j'ai ensuite transcrit et complété dans Rosegarden.
Bon, et en conclusion, les sons MIDI, c'est quand même rudement moche, et encore, j'avais arrangé les choses en ajoutant un peu de réverbération avec Audacity et en bidouillant le volume directement dans le séquenceur vidéo de Blender.
La solution, bien entendu, c'est d'embrasser ces sons robotiques et de faire de la musique électronique plutôt que du baroque. Il se trouve que pour Léon, j'avais envie de faire du baroque. On verra pour la prochaine vidéo !
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