jeudi 26 juillet 2018

X-Plane 11

Je redécouvre les plaisirs de la simulation de vol avec X-Plane 11, qui fonctionne sous Linux, oui madame ! Alors, c'est rudement beau, mais il faut une config de dingue pour en profiter au maximum. Entre la RAM, la carte vidéo et le CPU, tout est au max !

Le terrain est généré automatiquement via des images satellites et des données géographiques, et l'on atteint donc des niveaux de détail plutôt bons partout dans le monde. Par exemple, voici ma rue, avec la voie ferrée qui passe juste à côté.

Alors bien sûr, lorsque l'on passe par des endroits connus, l'on trouve quelques points d'intérêt. Voici Londres et Tower Bridge, et c'est encore plus rigolo lorsque l'on peut piloter au travers!

Un peu plus loin, un effort notable sur Canary Wharf. Il devrait y avoir beaucoup plus de gratte ciels, mais ceux présents sont bien. Et l'on a la ligne du DLR qui passe en dessous.

Bon, et puis il y a aussi les différents avions, dont il faudra que je parle, et de ceux, faits par les passionnés, que l'on peut télécharger gratuitement. Me voici par exemple aux commandes d'un Rafale, en pleine nuit, à Mont-de-Marsan.

La prochaine fois, j'irai faire un petit tour de Paris pour voir un peu ce que je reconnais.

jeudi 19 juillet 2018

Plus de Kerbal

Je refais du Kerbal, et je m'éclate comme une bête. J'ai en effet tenté le mode carrière, alors que jusqu'à présent je me contentais du mode science, et c'est une toute autre façon de jouer. Alors qu'en sciences et en bac à sable, il faut soi-même décider quoi faire, le mode carrière propose une série de missions bien foutues, comme de mettre en orbite des satellites, tester des pièces à divers endroits, sauver des Kerbal coincés en divers lieux distants, emmener des touristes un peu partout, ou encore construire station spatiale ou base lunaire.

La gestion de l'argent et de l’expérience est un défi supplémentaire, et c'est un plaisir pour un minimaxeur de mon accabit. En effet, il est possible d'optimiser ses contrats très agressivement en tentant d'en remplir plusieurs à la fois. Ainsi, j'ai réussi avec un seul lancement à orbiter la lune (€€!), trimballer 3 touristes (€€€!), et sauver un Kerbal perdu en orbite dans le coin (€€€!). Chacun de ces contrats me payait ma fusée, donc tous ensemble, sacré bénéfice, qui sera utilisé pour construire une gigantesque station spatiale à la hauteur de ma mégalomanie.

Il faut également utiliser certaines missions pour en remplir d'autres : Ainsi, il m'a fallu installer un dépôt de carburant autour de la lune. À la mission suivante, je m'en suis servi pour ravitailler 3 fois mon aterrisseur lunaire, à l’arrivée, en milieu de mission, et au départ, m'assurant ainsi le plein de sciences en à seul voyage.

Dans quel autre jeu est-on à la fois directeur de la NASA, chef de mission, ingenieur, et astronaute ?

jeudi 5 juillet 2018

Blender Code Quest : Ma dépêche sur LinuxFr

Coucou ! J'ai publié sur LinuxFr une dépêche qui présente le Blender Code Quest et quelques nouveautés prévues dans Blender 2.8. C'est par ici !